Africa’s Artificial Intelligence (AI) Revolution: African Development Bank report projects $1 trillion in additional Gross Domestic Product (GDP) by 2035 with use of AI to enhance productivity

Source: APO

The African Development Bank (www.AfDB.org) has released a report establishing a strategic roadmap for unlocking the economic and social potential of artificial intelligence (AI) across Africa. Developed under the G20 Digital Transformation Working Group, Africa’s AI Productivity Gain: Pathways to Labour Efficiency, Economic Growth and Inclusive Transformation  gives an overview of the potential of A1 to foster development.

Download Report: https://apo-opa.co/4qrgJft

The study, carried out by consulting firm Bazara Tech, finds that inclusive AI deployment could generate up to $1 trillion in additional GDP by 2035- equivalent to nearly one-third of the continent’s current economic output. This potential is underpinned by Africa’s growing digital capacity, favorable demographics, and ongoing sectoral reforms, making it one of the most promising regions for AI-driven growth globally.

According to the report the AI dividend is expected to be concentrated in select high-impact sectors, rather than spread evenly across Africa’s economy. Analysis identified five priority sectors—agriculture (20%), wholesale and retail (14%), manufacturing and Industry 4.0 (9%), finance and inclusion (8%), and health and life sciences (7%)—which together are projected to capture 58% of the total AI gains, or approximately $580 billion by 2035. These sectors combine economic size, readiness to adopt AI, and strong potential to deliver inclusive development outcomes.

“We have set out the key actions in this report, identifying the areas where initial implementation should be focused,” said Nicholas Williams, Manager of the ICT Operations Division at the Bank. “The Bank is ready to release investment to support these actions. We expect the private sector and the government to utilize this investment to ensure we achieve the identified productivity gains and create quality jobs”.

The report asserts that realising the potential of AI depends on five interlinked enablers: data, compute, skills, trust, and capital. Reliable and interoperable data forms the foundation for AI insights, while scalable compute infrastructure ensures solutions can be deployed efficiently across the continent. It notes that a skilled workforce is essential to develop, implement, and maintain AI systems, and trust—built through governance, and regulatory frameworks—underpins adoption. The report also notes that the enablers, together with adequate capital investment  to de-risk innovation and accelerate deployment,  would “foster a cycle of AI-driven growth.”

The report also outlines a three-phase roadmap toward Africa’s AI readiness: ignition (2025-27), consolidation (2028-31) and scale (2032-35). 

“Achieving early milestones by 2026 will set Africa’s AI flywheel in motion,” said Ousmane Fall, Director of Industrial and Trade Development at the Bank. “Africa’s challenge is no longer what to do — it is doing it on time.”

Distributed by APO Group on behalf of African Development Bank Group (AfDB).

Contact:
Amba Mpoke-Bigg 
Communication and External Relations Department
email: media@afdb.org

About the African Development Bank Group:
The African Development Bank Group is Africa’s premier development finance institution. It comprises three distinct entities: the African Development Bank (AfDB), the African Development Fund (ADF) and the Nigeria Trust Fund (NTF). On the ground in 41 African countries with an external office in Japan, the Bank contributes to the economic development and the social progress of its 54 regional member states. For more information: www.AfDB.org

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Le Groupe de la Banque africaine de développement développe une idée originale pour présenter ses solutions climatiques aux participants à la 30e Conférence des Parties (COP30)

Source: Africa Press Organisation – French

Lors de la COP 30 qui s’est tenue à Belém (10-21 novembre), le Groupe de la Banque africaine de développement (www.AfDB.org) a développé une idée originale pour présenter ses différentes solutions en matière de climat : des sessions parallèles ordinaires avec, d’un côté, des orateurs, et de l’autre, un public qui écoute. Le Groupe de la Banque a organisé en lieu et place, un dialogue interactif avec les participants pour échanger de façon directe et conviviale, autour d’un café, sur ses différentes solutions climatiques. Les discussions portaient sur l’accélération du développement durable et résilient face au changement climatique en Afrique.

De nombreux participants ont pu, à cette occasion, en apprendre davantage sur les actions du Groupe de la Banque en matière de lutte contre les changements climatiques et sur les guichets de financement climatique de l’institution panafricaine de développement.

Autour de la première table, Davinah Milenge, coordinatrice de programmes en chef, changement climatique et croissance verte au sein du Groupe de la Banque, a échangé avec les participants sur les initiatives spéciales de la Banque, notamment celles portant sur l’économie circulaire en Afrique.

Gareth Phillips, chef de la division du financement climatique et environnemental au sein du Groupe de la Banque, présent à la seconde table, a, lui, échangé avec ses interlocuteurs sur les initiatives de la Banque en matière de finance verte, avec un accent particulier sur l’initiative sur les banques vertes en Afrique. Quant à James Kinyangi, coordonnateur du Fonds spécial ClimDev et du Guichet d’action climatique, il a tenu ses interlocuteurs en haleine sur les services d’information climatique financés par la Banque dans le cadre de ces deux guichets de financement. Arona Soumaré, spécialiste régional en chef sur le changement climatique de la Banque en Afrique de l’Ouest, a dirigé le dialogue sur l’action climatique de l’institution dans cette région considérée comme l’un des « points chauds » en matière de changement climatique dans le monde, échangeant surtout avec ses interlocuteurs sur l’engagement de la Banque sur la synergie entre les trois Conventions de Rio (climat, biodiversité, désertification).

Cet événement a offert une occasion conviviale aux participants de poser des questions diverses liées aux actions de la Banque en matière de changement climatique et de croissance verte en Afrique.

Cette session parallèle, unique en son genre, a enthousiasmé l’audience de par son originalité, l’interaction directe entre orateurs et participants et l’ouverture, dont ont fait preuve les différents responsables de la Banque.

Reilo Idagiza Sirali et Lydia Wanjo, deux participantes kényanes, ont salué « l’idée originale » de cette session. « C’est comme si nous nous étions rencontrés autour du café pour discuter de problèmes pourtant sérieux sur l’avenir de la planète », s’est félicitée Lydia Wanjo.

Nakita Aboyo, ressortissante du Cameroun, a salué la tenue de cette rencontre qui a permis, en un tour de table, d’apprendre des résultats de financement de la Banque et d’autres actions de l’institution en faveur des jeunes tel que le Programme des jeunes professionnels.

« C’était très intéressant. J’ai beaucoup appris sur la transition énergétique juste, les Contributions déterminées au niveau national (CDN), les mesures de la Banque sur l’économie circulaire », a déclaré Maria Micah Maua, membre de la délégation des jeunes Kényans à la COP 30. 

Al-Hamndou Dorsouma, chef de la division du Climat et de la Croissance verte au sein du Groupe de la Banque africaine de développement, en lançant les échanges, a expliqué que les pays africains, bien que contribuant à moins de 4 % des émissions mondiales, subissaient une hausse des températures, des phénomènes météorologiques extrêmes et une vulnérabilité croissante. Pourtant, l’Afrique est aussi un moteur de solutions climatiques, avec un vaste potentiel en matière d’énergies renouvelables, de minéraux critiques et certains des puits de carbone les plus importants au monde. « À la Banque africaine de développement, notre rôle est de contribuer à libérer ce potentiel grâce à une action intégrée et transformatrice », a déclaré M. Dorsouma. Il a souligné que sous la direction du président Sidi Ould Tah, le Groupe de la Banque vient d’adopter une nouvelle orientation stratégique structurée autour de « Quatre points cardinaux » guidant son action : « Premièrement, améliorer l’accès au capital pour libérer le potentiel financier de l’Afrique et accroître les investissements ; deuxièmement, réformer et consolider les systèmes financiers pour renforcer la résilience et accroître l’influence du continent ; troisièmement, tirer parti de la transformation démographique de l’Afrique grâce à l’innovation, aux compétences et à la création d’emplois, notamment pour la transition écologique ; quatrièmement,  mettre en place des infrastructures et des chaînes de valeur résilientes face au changement climatique afin de garantir une croissance durable à long terme ».

« Les initiatives que nous abordons aujourd’hui – économie circulaire, services d’information climatique et finance verte – contribuent directement à ces axes prioritaires et illustrent comment la Banque intègre l’innovation, l’information et l’investissement pour impulser une action climatique à grande échelle », a ajouté M. Dorsouma.

Les échanges autour du café ont permis de mieux apprécier le rôle du Groupe de la Banque africaine de développement, qui demeure en première ligne en Afrique en matière d’adaptation et d’atténuation climatiques.

Distribué par APO Group pour African Development Bank Group (AfDB).

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Grupo Banco Africano de Desenvolvimento mostra ideia inovadora para apresentar as suas soluções climáticas aos participantes da 30ª Conferência das Partes (COP 30)

Source: Africa Press Organisation – Portuguese –

Durante a COP 30, realizada em Belém  de 10 a 21 de novembro, o Grupo Banco Africano de Desenvolvimento (www.AfDB.org) desenvolveu uma ideia original para apresentar as suas diferentes soluções climáticas: em vez de sessões paralelas regulares com, de um lado, oradores e, do outro, um público que os ouve, o Grupo Banco organizou um diá. interativo com os participantes para trocar ideias de forma direta e amigável, enquanto tomavam um café, sobre as suas diferentes soluções climáticas. As discussões centraram-se na aceleração do desenvolvimento sustentável e resiliente face às alterações climáticas em África.

Muitos participantes puderam, nessa ocasião, aprender mais sobre as ações do Grupo Banco na luta contra as alterações climáticas e sobre os mecanismos de financiamento climático da instituição pan-africana de desenvolvimento.

Na primeira mesa, Davinah Milenge, coordenadora-chefe de programas, alterações climáticas e crescimento verde do Grupo Banco, conversou com os participantes sobre as iniciativas especiais do Banco, nomeadamente as relacionadas com a economia circular em África.

Gareth Phillips, chefe da divisão de financiamento climático e ambiental do Grupo Banco, presente na segunda mesa, conversou com os seus interlocutores sobre as iniciativas do Banco em matéria de financiamento verde, com especial destaque para a iniciativa sobre bancos verdes em África. Quanto a James Kinyangi, coordenador do Fundo Especial ClimDev e da Janela de Ação Climática, manteve os seus interlocutores interessados sobre os serviços de informação climática financiados pelo Banco no âmbito destas duas janelas de financiamento. Arona Soumaré, especialista-chefe regional em alterações climáticas do Banco na África Ocidental, conduziu o diá. sobre a ação climática da instituição nesta região considerada um dos “pontos críticos” em matéria de alterações climáticas no mundo, trocando ideias com os seus interlocutores sobre o compromisso do Banco com a sinergia entre as três Convenções do Rio (clima, biodiversidade, desertificação).

Este evento proporcionou aos participantes uma oportunidade informal para colocarem diversas questões relacionadas com as ações do Banco em matéria de alterações climáticas e crescimento verde em África.

Esta sessão paralela, única no seu género, entusiasmou o público pela sua originalidade, pela interação direta entre oradores e participantes e pela abertura demonstrada pelos diferentes responsáveis do Banco.

Reilo Idagiza Sirali e Lydia Wanjo, duas participantes quenianas, elogiaram a “ideia original” desta sessão. “É como se nos tivéssemos reunido para tomar um café e discutir questões sérias sobre o futuro do planeta”, afirmou Lydia Wanjo.

Nakita Aboyo, cidadã do Camarões, elogiou a realização deste encontro, que permitiu, numa mesa redonda, conhecer os resultados do financiamento do Banco e outras ações da instituição em favor dos jovens, como o Programa de Jovens Profissionais.

“Foi muito interessante. Aprendi muito sobre a transição energética justa, as Contribuições Determinadas a Nível Nacional (CDN) e as medidas do Banco sobre a economia circular”, declarou Maria Micah Maua, membro da delegação de jovens quenianos na COP 30.

Al-Hamndou Dorsouma, chefe da divisão de Clima e Crescimento Verde do Grupo Banco Africano de Desenvolvimento, ao iniciar o debate, explicou que os países africanos, embora contribuam com menos de 4% das emissões globais, sofrem com o aumento das temperaturas, fenómenos meteorológicos extremos e uma vulnerabilidade crescente. No entanto, África é também um motor de soluções climáticas, com um vasto potencial em termos de energias renováveis, minerais críticos e alguns dos mais importantes sumidouros de carbono do mundo.

“No Banco Africano de Desenvolvimento, o nosso papel é contribuir para libertar esse potencial através de uma ação integrada e transformadora”, afirmou Dorsouma. Salientou que, sob a liderança do presidente Sidi Ould Tah, o Grupo Banco acaba de adotar uma nova orientação estratégica estruturada em torno de ‘quatro pontos cardeais’ que orientam a sua ação: “Em primeiro lugar, melhorar o acesso ao capital para libertar o potencial financeiro de África e aumentar os investimentos; em segundo lugar, reformar e consolidar os sistemas financeiros para reforçar a resiliência e aumentar a influência do continente; em terceiro lugar, tirar partido da transformação demográfica de África através da inovação, das competências e da criação de emprego, nomeadamente para a transição ecológica; em quarto lugar, criar infraestruturas e cadeias de valor resilientes às alterações climáticas, a fim de garantir um crescimento sustentável a longo prazo”.

“As iniciativas que abordamos hoje – economia circular, serviços de informação climática e finanças verdes – contribuem diretamente para estas prioridades e ilustram como o Banco integra inovação, informação e investimento para impulsionar uma ação climática em grande escala”, acrescentou o chefe da divisão de Clima e Crescimento Verde do Grupo Banco.

As discussões durante o café permitiram uma maior compreensão sobre o papel do Grupo Banco Africano de Desenvolvimento, que continua na linha da frente em África em matéria de adaptação e atenuação climáticas.

Distribuído pelo Grupo APO para African Development Bank Group (AfDB).

Sobre o Grupo Banco Africano de Desenvolvimento:
O Grupo Banco Africano de Desenvolvimento é a principal instituição financeira de desenvolvimento em África. Inclui três entidades distintas: o Banco Africano de Desenvolvimento (AfDB), o Fundo Africano de Desenvolvimento (ADF) e o Fundo Fiduciário da Nigéria (NTF). Presente no terreno em 41 países africanos, com uma representação externa no Japão, o Banco contribui para o desenvolvimento económico e o progresso social dos seus 54 Estados-membros. Mais informações em www.AfDB.org/pt

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African Development Bank Group develops original idea to present climate solutions to 30th Conference of the Parties (COP30) participants

Source: APO – Report:

At COP30, held in Belém, Brazil (10-21 November), the African Development Bank Group (www.AfDB.org) introduced a new, more interactive way to showcase its climate solutions by hosting informal, coffee-style dialogues that allowed participants to engage directly with Bank experts.

The discussions focused on accelerating sustainable and resilient development as Africa faces the threat of climate change.

Al-Hamndou Dorsouma, the Bank Group’s Climate and Green Growth Division Manager, opened the discussions. He explained that African countries, despite contributing less than four percent of global emissions, are experiencing rising temperatures, extreme weather events and increasing vulnerability.

The Bank Group was also represented by Davinah Milenge, Chief Programme Coordinator for Climate Change and Green Growth, who outlined Bank Group special initiatives, including relating to the circular economy in Africa.

Gareth Phillips, Manager for Climate and Environmental Finance described the Bank’s green finance initiatives with a particular focus on the African Green Banks Initiative.

Meanwhile, James Kinyangi, Coordinator of the ClimDev Special Fund and the Climate Action Window, captivated audiences with a presentation on these two financing windows.

Also, Arona Soumaré, the Bank’s Chief Regional Specialist on Climate Change for West Africa, led a dialogue on the institution’s climate activities in the region, which is considered a global climate change hot spots. Soumare addressed, in particular, the Bank’s commitment to creating synergies between the Rio Conventions on climate, biodiversity, and desertification.

The Bank representatives fielded several questions and comments. Reilo Idagiza Sirali and Lydia Wanjo, two Kenyan visitors, praised the “original idea” behind this session. “It was as if we had met over coffee to discuss serious issues about the future of the planet,” said Wanjo.

“It was very interesting – I learned a lot about the just energy transition, nationally determined contributions (NDCs) and the Bank’s measures on the circular economy,” said Maria Micah Maua, a member of the Kenyan youth delegation to COP30.

“At the African Development Bank, our role is to help unlock this potential through integrated and transformative action,” said Dorsouma.

He noted that under the leadership of President Sidi Ould Tah, the Bank Group has just adopted a new strategic direction centred on ‘Four Cardinal Points, which are improving access to capital to unlock Africa’s financial potential and increase investment; reforming and strengthening financial systems to build resilience and increase the continent’s influence; harnessing Africa’s demographic transformation through innovation, skills and job creation, particularly for the green transition; and building climate-resilient infrastructure and value chains to ensure long-term sustainable growth.

Doursouma said, “the initiatives we are discussing today – the circular economy, climate information services and green finance – contribute directly to these priority areas and illustrate how the Bank integrates innovation, information and investment to drive large-scale climate action.”

– on behalf of African Development Bank Group (AfDB).

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Minister undertakes oversight visit to Lesotho Highlands Water Project

Source: Government of South Africa

Minister undertakes oversight visit to Lesotho Highlands Water Project

Water and Sanitation Minister Pemmy Majodina is this weekend leading a South African delegation to Lesotho for an oversight visit to assess progress on Phase II of the Lesotho Highlands Water Project (LHWP).

The Minister is accompanied by Deputy Minister David Mahobo and Deputy Minister of Planning, Monitoring and Evaluation, Seiso Mohai.

The delegation is scheduled to meet Lesotho’s Minister of Natural Resources, Mohlomi Moleko.

Majodina will be joined on the two-day visit beginning on Saturday, 14 December 2025, by representatives of the Lesotho Highlands Water Commission, on behalf of the two countries, as well as the Lesotho Highlands Development Authority (LHDA), which is the implementing agency for the project.

The oversight visit will include inspections of key infrastructure sites, including the Polihali Dam construction site, the Katse Dam Outfall Tunnel system, and the Senqu Bridge, among other infrastructure associated with the project.

The Minister will also lead bilateral consultation meetings to discuss project progress and ensure the continued success of the landmark initiative.

The LHWP remains central to strengthening bilateral relations between South Africa and the Kingdom of Lesotho, while advancing development and economic prosperity in both countries.

The project involves the construction of a network of tunnels and dams to transfer water from the Orange–Senqu River in the Lesotho highlands to South Africa, and to use the water-delivery system to generate hydro-electric power in the Kingdom of Lesotho.

Phase II of the water transfer component includes the construction of an approximately 165-metre-high concrete-faced rockfill dam at Polihali, located downstream of the confluence of the Khubelu and Senqu-Orange Rivers, as well as an approximately 38 kilometre concrete-lined gravity tunnel linking the Polihali and Katse reservoirs.

Upon completion, Phase II will increase the annual water transfer from Lesotho to South Africa by an additional 490 million cubic metres, raising total transfers from the current 780 million cubic metres per year to make it 1260 million cubic metres per year. The additional water will feed into South Africa’s Integrated Vaal River System (IVRS).

“The IVRS is the biggest system in the country, which supplies water to our economic hub of Gauteng and comprises 14 dams with catchments in four provinces, namely Free State, Northern Cape, Mpumalanga, and North West, with the Polihali dam becoming the 15th dam in the system,” the department said in a statement on Saturday.

Earlier this month, the Ministers responsible for water from the four Orange–Senqu River Basin states have reiterated their shared commitment to safeguarding the river basin as a strategic resource underpinning regional water security, climate resilience, economic development, and ecological sustainability.

The visit will conclude on Sunday, 15 December 2025.  – SAnews.gov.za
 

 

GabiK

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Maroc : la Banque africaine de développement accorde 270 millions d’euros pour moderniser les infrastructures aéroportuaires et faire du Royaume un hub aérien de référence

Source: Africa Press Organisation – French

Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement (www.AfDB.org) a approuvé un financement de 270 millions d’euros au Maroc pour la mise en œuvre du Programme d’extension et de modernisation des infrastructures aéroportuaires (PEMIA).

Cette opération vise à renforcer la compétitivité du transport aérien au Maroc à travers la modernisation de ses principales plateformes.

Le programme ambitionne d’accroître les capacités opérationnelles des aéroports du Royaume grâce à la mise à niveau des infrastructures, à l’extension du système de navigation aérienne et au renforcement des dispositifs de sûreté. Il permettra de répondre à la croissance du trafic passagers et fret à l’horizon 2030, notamment en vue de la co-organisation par le Maroc de la Coupe du monde de football en 2030.

Ces investissements seront complétés par l’installation d’équipements de sûreté de dernière génération, de systèmes automatisés de traitement des bagages et d’équipements de mobilité modernes. L’objectif est d’offrir une expérience de voyage plus fluide, sûre et confortable.

« Développer encore plus la destination Maroc et renforcer sa compétitivité logistique pour préparer un événement d’ampleur mondiale comme la Coupe du monde de football 2030 reste notre priorité stratégique », a déclaré Achraf Hassan Tarsim, responsable du bureau pays du Groupe de la Banque africaine de développement au Maroc.

Le projet prévoit la modernisation des aéroports de Marrakech, Agadir, Tanger et Fès, comprenant l’agrandissement des aérogares, la construction d’une nouvelle tour de contrôle à Marrakech et l’aménagement de 1,5 million de mètres carrés de parkings avions et de 7,6 kilomètres de voies de circulation.

« Ce projet contribuera à propulser la dynamique touristique du Maroc et à moderniser sa logistique aérienne. En réponse à une croissance soutenue du trafic aérien, il modernisera les infrastructures aéroportuaires pour offrir une expérience de voyage sûre, efficace et conforme aux standards internationaux », a souligné Mike Salawou, directeur du Département des infrastructures et du développement urbain du Groupe de la Banque.

Ce programme innovant combine différents aspects de numérisation, de fluidité et de confort pour transformer l’expérience des voyageurs au Maroc.

À court terme, la mise en service d’infrastructures modernisées améliorera la sécurité des opérations et générera plusieurs milliers d’emplois, en particulier pour les femmes et les jeunes. À moyen terme, le programme stimulera le tourisme, le commerce et les investissements publics et privés dans les secteurs liés au transport.

À l’horizon 2030, le programme permettra une augmentation notable des capacités du Royaume : 14 millions de passagers à Marrakech, cinq millions à Agadir, 3,6 millions à Tanger et trois millions à Fès. Ces évolutions renforceront le rôle du Maroc comme plateforme aérienne régionale.

En adéquation avec les Quatre points cardinaux du Groupe de la Banque (http://apo-opa.co/4oPU0Is) et le Nouveau modèle de développement du Maroc, ce projet soutient la mise en œuvre de la « Vision touristique 2030 » et l’ambition du Royaume de devenir un hub aérien de référence sur le continent africain.

Distribué par APO Group pour African Development Bank Group (AfDB).

Contact médias :
Département de la communication et des relations extérieures  
Groupe de la Banque africaine de développement
media@afdb.org

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Marrocos: 270 milhões de euros do Banco Africano de Desenvolvimento para modernizar as infraestruturas aeroportuárias e fazer do Reino uma plataforma aérea de referência

Source: Africa Press Organisation – Portuguese –

O Grupo Banco Africano de Desenvolvimento (www.AfDB.org) aprovou um financiamento de 270 milhões de euros destinado à implementação do Programa de Ampliação e Modernização das Infraestruturas Aeroportuárias em Marrocos (PEMIA). 

Esta operação visa reforçar a competitividade do transporte aéreo em Marrocos através da modernização das suas principais plataformas.

O programa vai aumentar as capacidades operacionais dos aeroportos do Reino através da modernização das infraestruturas, da expansão do sistema de navegação aérea e do reforço dos dispositivos de segurança. Permitirá responder ao crescimento do tráfego de passageiros e de carga até 2030, nomeadamente com vista à coorganização por Marrocos do Campeonato do Mundo de Futebol, em 2030.

Estes investimentos serão complementados pela instalação de equipamentos de segurança de última geração, sistemas automatizados de tratamento de bagagens e equipamentos de mobilidade modernos. O objetivo é oferecer uma experiência de viagem mais fluida, segura e confortável.

“Continuar a desenvolver Marrocos como destino e reforçar a sua competitividade logística para preparar e realizar com sucesso um evento de magnitude mundial como o Campeonato do Mundo de Futebol, em 2030, continua a ser a nossa prioridade estratégica”, afirmou Achraf Hassan Tarsim, responsável por Marrocos no Banco Africano de Desenvolvimento.

O projeto prevê a modernização dos aeroportos de Marraquexe, Agadir, Tânger e Fez, incluindo a ampliação dos terminais, a construção de uma nova torre de controlo em Marraquexe e a criação de 1,5 milhões de metros quadrados de estacionamento para aeronaves e 7,6 quilómetros de pistas de circulação.

“Este projeto contribuirá para impulsionar a dinâmica turística de Marrocos e modernizar a sua logística aérea. Em resposta ao crescimento anual de 6 % do tráfego aéreo, modernizará as infraestruturas aeroportuárias para oferecer uma experiência de viagem segura, eficiente e em conformidade com as normas internacionais”, afirmou Mike Salawou, diretor do Departamento de Infraestruturas, Cidades e Desenvolvimento Urbano.

O programa inova ao combinar digitalização, fluidez e conforto para transformar a experiência dos passageiros que viajam para Marrocos.

A curto prazo, a entrada em funcionamento de infraestruturas modernizadas melhorará a segurança das operações e gerará vários milhares de empregos, em particular para mulheres e jovens. A médio prazo, o programa estimulará o turismo, o comércio e os investimentos públicos e privados nos setores relacionados com os transportes.

Até 2030, o projeto permitirá um aumento significativo da capacidade: 14 milhões de passageiros em Marraquexe, 5 milhões em Agadir, 3,6 milhões em Tânger e 3 milhões em Fez. Estas evoluções reforçarão o papel de Marrocos como plataforma aérea regional.

Em consonância com os Quatro Pontos Cardeais do Banco (http://apo-opa.co/3XRuNm8) e o Novo Modelo de Desenvolvimento do país, este projeto apoia a implementação da ‘Visão Turística 2030’ e a ambição do Reino de se tornar um centro logístico africano de referência.

Distribuído pelo Grupo APO para African Development Bank Group (AfDB).

Contacto para os media:
Departamento de Relações Externas e Comunicação, 
media@afdb.org

Sobre o Grupo Banco Africano de Desenvolvimento:
O Grupo Banco Africano de Desenvolvimento é a principal instituição financeira de desenvolvimento em África. Inclui três entidades distintas: o Banco Africano de Desenvolvimento (AfDB), o Fundo Africano de Desenvolvimento (ADF) e o Fundo Fiduciário da Nigéria (NTF). Presente no terreno em 41 países africanos, com uma representação externa no Japão, o Banco contribui para o desenvolvimento económico e o progresso social dos seus 54 Estados-membros. Mais informações em www.AfDB.org/pt

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Orange Money Group et Visa annoncent un partenariat stratégique pour accélérer les paiements en ligne en Afrique

Source: Africa Press Organisation – French

Orange Money Group (www.Orange.com) et Visa annoncent un partenariat stratégique visant à accélérer les paiements en ligne et à démocratiser l’accès aux services financiers à travers l’Afrique et le Moyen-Orient.

Déjà opérationnel avec succès au Botswana, à Madagascar et en Jordanie, où le partenariat vient d’être reconduit, la carte virtuelle Visa vient d’être lancée par Orange Money Côte d’Ivoire. Ce lancement réussi, illustre parfaitement notre ambition commune avec Visa, offrir un écosystème financier plus inclusif permettant à des millions d’utilisateurs d’accéder à une solution simple, sécurisée et reconnue internationalement.

Fort du succès rencontré dans ces pays, ce partenariat sera progressivement étendu à de nouveaux marchés, notamment la Guinée, le Burkina Faso et la République Démocratique du Congo.

Accessible directement depuis l’application Max it, la carte virtuelle Orange Money Visa permet à chaque utilisateur de créer en quelques clics une carte qu’il peut approvisionner à tout moment depuis son compte Orange Money pour effectuer des paiements en ligne sur des sites locaux et internationaux. Une carte physique sera également disponible dans un second temps dans les points de vente Orange Money agréés.

Orange Money est fier de ce partenariat avec Visa en raison de son expertise mondiale en matière de paiements sécurisés et de son réseau d’acceptation international, garantissant aux utilisateurs Orange Money une expérience fluide et de confiance, où qu’ils se trouvent.

Pour Orange Money, ce partenariat s’inscrit dans sa mission d’inclusion financière : simplifier l’accès aux services digitaux et permettre à chacun de participer pleinement à l’économie numérique, quel que soit son pays ou son niveau d’équipement.

Thierry Millet, Directeur Général, Orange Money Group, commente : « Grâce à Orange Money, nos 45 millions de clients règlent déjà leurs achats au quotidien, aussi bien auprès de millions de commerçants que sur les plateformes de e-commerce de leur pays. Désormais, particuliers comme entrepreneurs peuvent créer en quelques secondes leur carte Visa virtuelle et payer en ligne à l’international dans tout le réseau Visa. Cette première étape de notre partenariat stratégique rapproche Orange Money d’un objectif clair : devenir un moyen de paiement accepté partout, des grands sites marchands aux commerces de proximité »

Ismahill Diaby, Vice-Président, Directeur Général – Afrique de l’Ouest et Centrale Francophone & Lusophone, Visa, commente : « Nous sommes heureux de collaborer avec Orange Money afin de rendre les avantages de l’économie numérique accessibles à des millions de personnes en Afrique. En alliant la technologie fiable de Visa à la forte présence locale d’Orange Money, ce partenariat offre une solution simple et sécurisée pour permettre à davantage de particuliers et de petites entreprises de payer en ligne — et de participer en toute confiance au commerce quotidien. »

Avec plus de 173 millions de clients et 45 millions de comptes actifs dans 17 pays en Afrique, Orange poursuit son engagement pour accompagner la transformation numérique et financière du continent, en s’appuyant sur la technologie de confiance de Visa.

Distribué par APO Group pour Orange Middle East and Africa.

Contacts Presse :
Orange Afrique et Moyen-Orient (OMEA)

Stella Fumey
stella.fumey@orange.com

Tom Wright
tom.wright @orange.com

Visa
Lesego Charlie
lcharlie@visa.com

Yvan Guehi
yguehi@visa.com

A propos d’Orange Money:
Orange Money, solution pionnière de l’inclusion financière, est utilisée chaque mois par plus de 45 millions de personnes dans 17 pays en Afrique et au Moyen Orient. Orange Money Group a la responsabilité, en lien avec les entités Orange Money locales et Orange Bank Africa, de définir la stratégie des services financiers mobiles de la zone Moyen Orient et Afrique. Elle apporte aux entités locales le support opérationnel leur permettant d’accélérer leur croissance, de nouer de nouveaux partenariats, d’accompagner leurs plans de mise en conformité et les aide à développer de nouvelles activités à valeur répondant aux attentes du marché.

À propos d’Orange Afrique et Moyen-Orient (OMEA):
Orange est présent dans 17 pays en Afrique et au Moyen Orient et compte plus de 173 millions de clients au 30 novembre 2025. Avec 7,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2024, Orange MEA est la première zone de croissance du groupe Orange. Orange Money, son offre de transfert d’argent et de services financiers, est disponible dans 17 pays et compte plus de 100 millions de clients. Orange, opérateur multi-services, partenaire de référence de la transformation digitale apporte son expertise pour accompagner le développement de nouveaux services digitaux en Afrique et au Moyen-Orient.

À propos de Visa:
Visa (NYSE: V) est un leader mondial des paiements numériques, facilitant les transactions entre les consommateurs, les commerçants, les institutions financières et les entités gouvernementales dans plus de 200 pays et territoires. Notre mission est de connecter le monde grâce au réseau de paiements le plus innovant, le plus pratique, le plus fiable et le plus sûr, permettant aux individus, aux entreprises et aux économies de prospérer. Nous croyons que les économies qui incluent tout le monde partout, élèvent tout le monde partout et nous considérons l’accès comme fondamental pour l’avenir du mouvement de l’argent.

En savoir plus sur www.Visa.com.

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Orange Money Group and Visa Announce a Strategic Partnership to Accelerate Online Payments in Africa

Source: APO – Report:

Orange Money Group (www.Orange.com) and Visa announce a strategic partnership aimed at accelerating online payments and democratizing access to financial services across Africa and the Middle East.

Already successfully deployed in Botswana, Madagascar, and Jordan, where the partnership is renewed, the virtual visa card has been recently launched by Orange Money Côte d’Ivoire. This launch was a success and perfectly illustrates our shared vision with Visa for a more inclusive and accessible financial ecosystem. 

This partnership marks a new milestone in the shared ambition of the two companies: to provide millions of users with a simple, secure, and internationally recognized payment solution.

Building on the success in these countries, it will be gradually rolled out to new markets such as Guinea, Burkina Faso, and the Democratic Republic of Congo.

Directly accessible from the Max it app, the Orange Money Visa virtual card allows users to instantly create a card that can be funded anytime from their Orange Money account, enabling secure online payments on local and international websites. A physical card will also be made available at authorized Orange Money points of sale at a later stage.

Orange Money is proud to partner with Visa, given its global expertise in secure digital payments and its extensive international acceptance network—ensuring Orange Money users enjoy a seamless and trusted payment experience wherever they are.

For Orange Money, this partnership is fully aligned with its mission to promote financial inclusion—simplifying access to digital services and empowering everyone to participate fully in the digital economy, regardless of their country or device.

Thierry Millet, CEO, Orange Money Group comments: “Thanks to Orange Money, our 45 million customers can make everyday payments at millions of physical retail locations and with online merchants in their country. Whether they are individuals or entrepreneurs, they can now create their virtual Visa card in just a few seconds and make international online payments across the Visa network. This is the first step in this strategic partnership, which will help make Orange Money a widely accepted payment method, from major online platforms to local neighborhood merchants.”

Ismahill Diaby, Vice-President, General Manager – Western and Central Francophone & Lusophone Africa, Visa comments: “We’re excited to partner with Orange Money to bring the advantages of the digital economy to millions of people across Africa. By combining Visa’s trusted technology with Orange Money’s local reach, this partnership offers a simple, secure way for more people and small businesses to pay online—helping them participate confidently in everyday commerce.”

With over 173 million customers and 45 million active accounts across 17 countries in Africa, Orange continues to drive digital and financial transformation across the continent, supported by Visa’s trusted technology.

– on behalf of Orange Middle East and Africa.

Press contacts:
Orange Middle-East and Africa (OMEA)
Stella Fumey
stella.fumey@orange.com

Tom Wright
tom.wright @orange.com

Visa
Lesego Charlie
lcharlie@visa.com

Yvan Guehi
yguehi@visa.com

About Orange Money Group:
Orange Money, a pioneering solution for financial inclusion, is used every month by more than 45 million people across 17 countries in Africa and the Middle East. Orange Money Group, in coordination with local Orange Money entities and Orange Bank Africa, is responsible for defining the mobile financial services strategy for the Middle East and Africa region. It provides local entities with operational support to help them accelerate their growth, establish new partnerships, support their compliance plans, and develop new value-added activities that meet market expectations.

About Orange Middle-East and Africa (OMEA):
Orange is present in 17 countries in Africa and the Middle East and has 173 million customers at 30 november 2025. With 7.7 billion euros of revenues in 2024, Orange MEA is the first growth area in the Orange group. Orange Money, its flagship mobile-based money transfer and financial services offer is available in 17 countries and has more than 100 million customers. Orange, multi-services operator, key partner of the digital transformation provides its expertise to support the development of new digital services in Africa and the Middle East.

About Visa:
Visa (NYSE: V) is a world leader in digital payments, facilitating transactions between consumers, merchants, financial institutions and government entities in more than 200 countries and territories. Our mission is to connect the world through the most innovative, convenient, reliable and secure payments network, enabling people, businesses and economies to thrive. We believe that economies that include everyone everywhere, lift everyone everywhere, and we see access as fundamental to the future of the movement of money.

Find out more about www.Visa.com.

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Senegal’s Energy, Petroleum & Mines Minister Announces MSGBC Oil, Gas & Power 2026

Source: APO – Report:

Birame Soulèye Diop, Minister of Energy, Petroleum & Mines of Senegal, announced that the next MSGBC Oil, Gas & Power Conference and Exhibition will take place from December 1-3, 2026, in Dakar, Senegal. The announcement was made during a fireside chat at the 2025 edition of the event, with Minister Diop underscoring the need to continue investing in regional energy.

“MSGBC Oil, Gas & Power 2026 will build on the success of this year’s event and provide a platform to accelerate investment and regional collaboration in the energy sector,” said Minister Diop. “We invite investors, partners and stakeholders to join us in shaping the future of energy in the MSGBC region.”

During the discussion, Minister Diop also highlighted the importance of local content and national capacity in developing Senegal’s energy sector.

“Local content must be understood as both a legal and economic foundation – a legal entity capable of participating in commercial activity and contributing expertise,” he said. “It also refers to individual human resources: financial experts, geological engineers, petrochemical and electromechanical specialists – the backbone of national capacity.”

The Minister also spoke about the role of the national private sector in nation-building. “Our states are right to affirm that nation-building relies on developing a strong national private sector. We are not exclusivist; we do not exclude anyone,” he said. “When we invite partners, we ask them to show openness and the willingness to transfer skills and share knowledge.”

On the topic of domestic gas usage and energy access, Minister Diop emphasized the urgent need to provide affordable, clean energy. “Everyone knows that in Africa, clean cooking methods are still far from widespread. In remote villages, women still cook with firewood, while children rely on kerosene lanterns to study,” Minister Diop said. “Gas must be a transition energy for achieving universal energy access. If all African gas-producing countries used their full capacity, their contribution to greenhouse gas emissions would be only 0.5%.”

Minister Diop also called for regional collaboration to leverage Africa’s comparative advantages. “We must build together around shared interests: electricity through West African Power Pool, gas through the Nigeria–Morocco pipeline and other strategic corridors. No one can dictate our path; we will build our projects, like Yakaar-Teranga, with Senegalese priorities first,” he said.

Minister Diop concluded by underlining the vision for long-term sustainable development, stating that “the future of Senegal’s energy sector depends on strong local content, strategic partnerships and regional cooperation. We are building our continent’s energy future together.”

– on behalf of Energy Capital & Power.

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