Source: United Nations – English
iodiversity is the bedrock of life and a cornerstone of sustainable development.
Yet humanity is destroying biodiversity at lightening pace – the result of pollution, climate crisis, ecosystem destruction, and – ultimately – short-term interests fuelling the unsustainable use of our natural world.
Biodiversity loss is a global challenge. No one country, however rich or powerful, can address it alone. Nor can they live without the rich biodiversity that defines our planet.
As we pursue sustainable development, we must transform how we produce and consume, and how we value nature, and deliver on the Kunming-Montreal Global Biodiversity Framework – the world’s blueprint to halt and reverse biodiversity loss. We need policies, regulations, and other incentives to support sustainable livelihoods and build strong, green economies.
That means governments building on progress made at CBD COP16, including by delivering domestic and international finance, and shifting public subsidies and other financial flows away from activities that harm nature. And it means countries delivering National Biodiversity Strategies and Action Plans that put the Framework into effect, address inequality, advance sustainable development, respect traditional knowledge, and empower women, girls, Indigenous People and more.
As the theme of this year’s International Day reminds us, living in “harmony with nature and sustainable development” is humanity’s path to a better world for us all. Together, let’s take it.
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La diversité biologique est au fondement de la vie et l’une des pierres angulaires du développement durable.
Pourtant, l’humanité est en train de l’anéantir à une vitesse fulgurante du fait à la fois de la pollution, de la crise climatique, de la destruction des écosystèmes et, in fine, de la poursuite de l’intérêt à court terme qui favorise une exploitation non durable de l’environnement naturel.
La perte de biodiversité est un problème mondial. Aucun pays, aussi riche ou puissant soit-il, ne peut y remédier seul. Aucun ne peut non plus se passer de cette biodiversité dont la richesse caractérise notre planète.
Tandis que nous avançons sur la voie du développement durable, nous devons transformer nos façons de produire, de consommer et de valoriser la nature et appliquer le Cadre mondial de la biodiversité de Kunming-Montréal, à savoir le plan d’action mondial visant à enrayer et à inverser la perte de biodiversité. Nous avons besoin de politiques, de réglementations et d’autres mesures incitatives qui favorisent des modes de subsistance durables et consolident les économies vertes.
À cette fin, les États doivent mettre à profit les avancées obtenues à la seizième session de la Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique, notamment en procédant à des investissements aux niveaux national et international et en ne subventionnant plus et en ne finançant plus les activités qui nuisent à la nature. Il faut également que les pays élaborent des stratégies et des plans d’action nationaux en faveur de la biodiversité qui viennent appliquer le Cadre, remédier aux inégalités, favoriser le développement durable, respecter les connaissances traditionnelles et donner des moyens d’action aux femmes, aux filles, aux peuples autochtones et à d’autres encore.
Comme nous le rappelle le thème de la Journée internationale de cette année, vivre « en harmonie avec la nature et le développement durable » est la voie qui permettra à l’humanité de créer un monde meilleur pour tous et toutes. Empruntons-la ensemble !
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