Rapport annuel 2024 : Un engagement continu por la santé au Tchad


Le Rapport annuel du Bureau Pays de l’OMS/Tchad est disponible. Il fait le point des principales réalisations durant l’année 2024 : https://lnkd.in/diXae6KN

En 2024, l’OMS a poursuivi son engagement au Tchad à travers les priorités du « triple milliard » : la couverture sanitaire universelle, la gestion des urgences sanitaires, et l’amélioration du bien-être des populations. Des progrès notables ont été enregistrés avec la mise en service de quatre centrales d’oxygène, la formation du personnel de santé, l’introduction de trois nouveaux vaccins (paludisme, rotavirus, pneumocoque) et l’élimination de la trypanosomiase humaine africaine.

Face aux épidémies (poliomyélite, rougeole, fièvre jaune), la riposte s’est renforcée via le renforcement vaccination de routine, le renforcement surveillance, la prise en charge des cas, et la campagne de riposte.

L’OMS a également soutenu la réponse sanitaire à la crise humanitaire avec l’afflux de réfugiés soudanais dans l’Est du pays, y compris la visite sur le terrain du Directeur Général de l’OMS, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus.

Des actions multisectorielles ont été engagées pour promouvoir la santé publique, notamment contre le tabagisme, l’alcoolisme, et à travers un projet d’électrification verte des structures de santé. Ces avancées illustrent l’importance des partenariats stratégiques pour un système de santé plus résilient et équitable au Tchad.

Distribué par APO Group pour World Health Organization (WHO) – Chad.

Le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) met en garde face à une crise qui s’aggrave avec un triplement des réfugiés soudanais qui arrivent au Tchad


Le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, tire la sonnette d’alarme face à l’aggravation de la crise humanitaire dans l’est du Tchad, où le nombre de réfugiés soudanais a plus que triplé en un peu plus de deux ans de conflit meurtrier.

Depuis avril 2023, plus de 844 000 réfugiés soudanais ont franchi la frontière tchadienne. Avant cette nouvelle crise, le Tchad accueillait environ 409 000 réfugiés soudanais qui avaient fui les précédentes vagues de conflit au Darfour entre 2003 et 2023. En un peu plus de deux ans, le pays a vu sa population de réfugiés dépasser 1,2 million de personnes, un chiffre bien supérieur à celui enregistré au cours des deux décennies précédentes. Cette situation met à rude épreuve la capacité du Tchad à faire face à l’afflux de réfugiés.

La dernière vague d’arrivées au Tchad a commencé fin avril 2025, à la suite d’attaques violentes perpétrées par des groupes armés dans le nord du Darfour début avril. Les attaques contre des camps de déplacés, notamment à Zamzam et Abu Shouk, ainsi que dans la ville d’El Fasher, ont fait plus de 300 morts parmi les civils et poussé des dizaines de milliers de personnes à fuir en quête de sécurité. En un peu plus d’un mois, 68 556 réfugiés sont arrivés dans les provinces tchadiennes de Wadi Fira et Ennedi Est, avec une moyenne de 1400 personnes franchissant la frontière quotidiennement ces derniers jours. Ces civils fuient dans la terreur, souvent sous les tirs, et doivent franchir des postes de contrôle, faire face à des extorsions et à des restrictions strictes imposées par les groupes armés.

Les équipes de protection du HCR ont interrogé 6810 réfugiés nouvellement arrivés depuis fin avril, qui ont livré des témoignages bouleversants sur les violences et les pertes subies. Pas moins de 72 % d’entre eux ont fait état de violations graves des droits humains, notamment de violences physiques et sexuelles, de détentions arbitraires et de recrutements forcés ; 60 % ont déclaré avoir été séparés des membres de leur famille.

Outre l’urgence liée aux déplacements de populations, une crise dévastatrice touche les enfants.

Parmi les enfants en âge scolaire, 66 % ne sont actuellement pas scolarisés. Trente enfants sont arrivés avec des blessures graves.

Parmi eux se trouve Hawa, une fillette de sept ans qui a fui au Tchad avec sa sœur aînée après avoir perdu sa mère, son père et ses deux frères lors d’un bombardement à Zamzam. Lors de l’attaque, Hawa a été gravement blessée et a dû être amputée d’une jambe. Son histoire n’est qu’un exemple parmi tant d’autres qui témoignent des conséquences physiques et psychologiques dévastatrices de la guerre qui sévit actuellement au Soudan sur les civils. Il est urgent de renforcer les services de santé et le soutien psychologique afin de soulager les souffrances immédiates des populations et de jeter les bases du relèvement et de la réconciliation.

Malgré les efforts des partenaires humanitaires et des autorités locales, les interventions d’urgence restent largement sous-financées. Les conditions d’hébergement des populations sont tout aussi désastreuses. Seuls 14 % des besoins actuels sont couverts, laissant des dizaines de milliers de personnes exposées à des conditions météorologiques extrêmes et à l’insécurité. Les réfugiés ne reçoivent actuellement que 5 litres d’eau par personne et par jour, ce qui est bien en deçà de la norme internationale de 15 à 20 litres pour les besoins quotidiens de base. Cette grave pénurie oblige les familles à faire des choix cornéliens qui mettent en péril leur santé et leur dignité. En outre, environ 290 000 réfugiés sont toujours bloqués à la frontière, exposés aux intempéries, à l’insécurité et au risque de nouvelles violences.

Le HCR souligne également la nécessité pour la communauté internationale de prendre conscience de la gravité des violations des droits humains commises au Soudan et d’agir pour y mettre fin. Les violences à El Fasher et dans ses environs, la multiplication des postes de contrôle et les restrictions de mouvement imposées par les groupes armés rendent les déplacements des civils de plus en plus périlleux et contribuent à accroître les risques pour ceux qui tentent de fuir.

Dans le cadre de la réponse régionale en faveur des réfugiés du Soudan, le HCR et ses partenaires au Tchad sollicitent d’urgence 553,7 millions de dollars pour répondre aux besoins vitaux des réfugiés qui fuient le Soudan vers l’est du Tchad, notamment en matière de protection, d’hébergement, de nourriture, d’eau et d’assainissement.

Depuis le début de la guerre, qui en est maintenant à sa troisième année, quatre millions de personnes ont fui le Soudan vers les pays voisins. C’est un chiffre terrible qui illustre la gravité de ce qui constitue actuellement la crise de déplacement la plus grave au monde. Si le conflit se poursuit, des milliers d’autres personnes continueront de fuir, mettant en péril la stabilité régionale et mondiale.

Il s’agit d’une crise humanitaire et sécuritaire qui touche avant tout les enfants. La vie et l’avenir de millions de civils innocents, dont des enfants comme Hawa, sont en jeu. Sans une augmentation significative des fonds, l’aide vitale ne pourra être fournie à l’échelle et à la vitesse requises.

Distribué par APO Group pour United Nations High Commissioner for Refugees (UNHCR).

African Energy Week (AEW) 2025 mettra en avant les opportunités offertes par la Guinée avec la participation du directeur général de la Société nationale des pétroles de Guinée (SONAP)

Lanciné Conde, directeur général de la Société nationale des pétroles de Guinée (SONAP), prendra la parole lors de la conférence African Energy Week (AEW) : Invest in African Energies de cette année. Se déroulant du 29 septembre au 3 octobre 2025 au Cap, cet événement est le rendez-vous incontournable du secteur énergétique africain. La participation de M. Conde permettra non seulement de mieux comprendre les opportunités énergétiques émergentes du pays, mais aussi de jeter les bases de nouveaux accords et partenariats. 

Bien que la Guinée-Conakry n’ait pas encore fait de découverte commerciale de pétrole, le pays met en œuvre des mesures pour inverser cette tendance. Il est en train de finaliser les conditions d’un cycle d’octroi de licences potentiel, cherchant à attirer de nouveaux acteurs sur le marché frontalier du pétrole et du gaz. Ce cycle d’octroi de licences, qui propose 22 blocs à explorer, devrait redynamiser l’exploration dans le pays et est complété par une multitude de données sismiques offshore. Lors de l’AEW : Invest in African Energies 2025, M. Condé partagera son point de vue sur ces opportunités et soulignera le potentiel considérable du marché pétrolier et gazier en amont de la Guinée-Conakry. 

AEW : Invest in African Energies est la plateforme de choix pour les opérateurs de projets, les financiers, les fournisseurs de technologies et les gouvernements, et s’est imposée comme le lieu officiel pour la signature d’accords dans le domaine de l’énergie en Afrique. Visitez le site http://www.AECWeek.com pour plus d’informations sur cet événement passionnant. 

Afin de soutenir l’exploration pétrolière et gazière offshore, la Guinée-Conakry renforce sa bibliothèque de données sismiques. La SONAP a créé le premier centre national de visualisation des données sismiques du pays en collaboration avec les sociétés mondiales d’acquisition de données et de technologie SLB et TGS. Le centre offre 15 000 km² de données sismiques 3D et 45 000 km² de données sismiques 2D. La SONAP recherche également des partenaires techniques pour acquérir davantage de données sismiques 3D, en ciblant les gisements offshore. À terre, la société recherche des partenaires pour développer des études gravimétriques et magnétiques. Ces efforts visent à soutenir l’exploration. À ce jour, cinq puits d’exploration ont été forés dans le pays. La poursuite de l’exploration pourrait non seulement permettre de mieux comprendre le potentiel pétrolier et gazier du pays, mais aussi déboucher sur des découvertes commerciales. 

Le potentiel pétrolier et gazier en amont de la Guinée-Conakry est confirmé par les succès commerciaux enregistrés dans les bassins régionaux. Les projets à grande échelle menés au Sénégal et en Mauritanie ont mis en évidence le potentiel important de la région MSGBC, ce qui plaide fortement en faveur de l’exploration en Guinée. Parmi ceux-ci figurent le champ pétrolier de Sangomar au Sénégal, d’une capacité de 100 000 barils par jour, qui a commencé à produire en 2024, et le projet de GNL Greater Tortue Ahmeyim (GTA), d’une capacité de 5 millions de tonnes par an (mtpa), situé à cheval sur la frontière maritime entre le Sénégal et la Mauritanie. Le premier gaz a été produit dans la première phase du projet GTA au début de 2025, avec une capacité de 2,5 mtpa. Investir dans les bassins offshore de la Guinée-Conakry pourrait ouvrir la voie à des développements similaires. La participation de Conde à AEW : Invest in African Energies 2025 permettra de partager des informations détaillées sur les opportunités à venir dans ce domaine. 

Parallèlement, afin de soutenir ses activités minières, la Guinée-Conakry développe un projet GNL multiforme. Ce projet comprend le développement de terminaux de réception de GNL, d’unités de regazéification à haute capacité, d’infrastructures de distribution et de centrales électriques au gaz d’une capacité totale estimée à 1 800 MW. Le GNL sera importé, regazéifié, puis distribué aux consommateurs dans tout le pays. En 2024, West Africa LNG Group a annoncé son intention d’alimenter le pays en électricité d’ici 2025 dans le cadre de ce projet. Cette annonce fait suite à un accord conclu en 2023 entre la société et le gouvernement de Guinée-Conakry pour le développement d’un projet GNL de 3 milliards de dollars. De plus amples informations seront communiquées lors de l’AEW : Invest in African Energies 2025. 

« La Guinée-Conakry représente un marché frontalier doté d’un potentiel pétrolier et gazier important. Stratégiquement situé à proximité de projets régionaux et offrant une multitude de données sismiques, le pays est devenu un point chaud pour les explorateurs mondiaux. En investissant dans le pays, les opérateurs sont susceptibles de faire des découvertes qui ouvriront de nouvelles perspectives tout en créant une nouvelle province hydrocarbonée en Afrique de l’Ouest », a déclaré Ore Onagbesan, directeur de programme, AEW : Invest in African Energies. 

Distribué par APO Group pour African Energy Chamber.

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La flotte tout-terrain de série de GWM participe au plus grand rallye désertique de Chine

Le 20 mai, le Rallye Taklimakan 2025 a officiellement débuté dans le désert de Taklamakan, le plus vaste désert de Chine. Surnommée le « Dakar d’Asie », cette épreuve extrême est réputée pour ses conditions environnementales hostiles et ses défis techniques redoutables. Elle représente le summum de la course tout-terrain longue distance en Chine, et figure parmi les rallyes désertiques les plus prestigieux au monde. Une décennie après avoir remporté le titre général, GWM (www.GWM-Global.com) fait son grand retour avec des modèles de série issus de trois de ses principales gammes, affichant sa volonté de triompher et de démontrer sa maîtrise technologique ainsi que sa confiance stratégique.

La composition de l’équipe GWM pour le Rallye Taklimakan 2025 incarne l’assurance stratégique de l’entreprise. Tous les véhicules engagés sont des modèles de série, notamment le HAVAL B26 (essence), le HAVAL H9 (diesel), le TANK300 Hi4-T, le TANK400 Hi4-T, le TANK500 Hi4-Z, ainsi que le GWM POER V6. Chacun d’eux est équipé de moteurs et de transmissions d’origine, identiques à ceux proposés aux clients, seuls des équipements de sécurité essentiels ayant été ajoutés pour répondre aux exigences de la compétition. En alignant des véhicules identiques à ceux commercialisés, GWM soumet ses processus de R&D, de contrôle qualité et de validation à l’épreuve ultime, démontrant la fiabilité, la robustesse et la stabilité de ses produits dans les conditions les plus extrêmes.

L’équipe HAVAL engage deux modèles HAVAL B26 et deux HAVAL H9 (versions essence et diesel) dans le cadre d’une stratégie double motorisation. En tant qu’« expert mondial du SUV », HAVAL vise à s’imposer dans la catégorie des 4×4 extrêmes. À travers cette participation, la marque met en lumière ses dernières avancées en matière de technologies tout-terrain, illustrant la parfaite transition de la conduite quotidienne à la compétition de haut niveau.

L’équipe TANK Hi4 ouvre une nouvelle ère en alignant une gamme pionnière de véhicules à énergies nouvelles dans la toute nouvelle catégorie NEV (New Energy Vehicle). Les modèles TANK300 Hi4-T, TANK400 Hi4-T et TANK500 Hi4-Z sont engagés pour tester les limites de la puissance et de l’efficacité énergétique face à des conditions climatiques et géographiques extrêmes. Cette architecture de nouvelle génération repousse les standards en matière de performance tout-terrain grâce à l’innovation technologique, affrontant les concurrents thermiques les plus robustes.

L’équipe POER V6 représente la catégorie des pick-up chinois sur la scène des performances extrêmes. Doté d’un moteur 3.0T développé en interne, le POER V6 délivre une puissance explosive et une réponse instantanée à l’accélération, déchirant les dunes comme une bête en liberté. Il incarne l’ambition de GWM de redéfinir les standards du pick-up de haute performance.

Essence, énergie nouvelle, SUV ou pick-up : l’équipe GWM dépasse les frontières de la marque et des technologies motrices pour lancer une offensive totale. Chaque équipe engagée reflète la philosophie « Smart Off-Road » de la marque, à la croisée de la puissance produit et de l’esprit d’entreprise.

Créé en 2005, le Rallye Taklimakan, officiellement nommé « Rallye Auto-Moto du Désert de Taklamakan », est reconnu par la FIA et s’impose comme l’un des plus grands événements internationaux du sport automobile tout-terrain. Surnommé le « Dakar de l’Est », ce rallye attire chaque année des concurrents du monde entier grâce à ses défis extrêmes et à la beauté saisissante de ses paysages naturels.

L’édition 2025 s’étend sur environ 4 500 kilomètres, dont 2 350 kilomètres de spéciales chronométrées. Elle traverse plusieurs régions emblématiques du Xinjiang telles qu’Aksu, Kachgar et Hotan, au cœur des reliefs les plus spectaculaires et impitoyables de Chine : dunes, déserts de pierres (gobi) et formations rocheuses de type yardang. Avec 65 % du parcours situé en zone désertique, le rallye impose une intensité maximale, mettant à l’épreuve les compétences de pilotage et la performance des véhicules sur des aspects clés comme le réglage du châssis, le refroidissement du groupe motopropulseur, la suspension et la réactivité de la transmission.

Le Taklimakan ne constitue pas seulement une épreuve sportive, mais un véritable laboratoire de développement produit pour GWM. Des collectes de données aux analyses techniques, en passant par la validation structurelle et les ajustements de performance, chaque étape du rallye s’intègre au processus de conception de l’entreprise. En parallèle, l’événement devient un vecteur puissant de diffusion de la culture de marque.

Ce rallye désertique à haut risque se déroule du 20 mai au 1er juin, sur des terrains impitoyables en constante évolution. Il pousse les véhicules comme les pilotes dans leurs retranchements et captive l’attention passionnée des amateurs de tout-terrain du monde entier.

Distribué par APO Group pour GWM.

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