Le Chef de l’État a eu un entretien avec l’Ambassadeur d’Iran en Côte d’Ivoire


Le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, s’est entretenu, ce mardi 24 juin 2025, au Palais de la Présidence de la République, avec l’Ambassadeur de la République Islamique d’Iran en Côte d’Ivoire, S.E.M. Amir Hossein NIK BIN.

En fin de mission dans notre pays, l’Ambassadeur d’Iran en Côte d’Ivoire est venu faire ses adieux au Président Alassane OUATTARA, et a profité de l’occasion pour évoquer, avec lui, les relations de coopération entre la Côte d’Ivoire et l’Iran.

S.E.M. Amir Hossein NIK BIN a remercié le Chef de l’État pour ses actions en faveur du renforcement des relations d’amitié et de coopération entre la Côte d’Ivoire et l’Iran.

L’Ambassadeur d’Iran en Côte d’Ivoire a, en outre, échangé avec le Président Alassane OUATTARA sur la situation au Moyen-Orient

Notons que le Ministre, Directeur de Cabinet du Président de la République, M. Fidèle SARASSORO, le Ministre des Affaires Étrangères, de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, M. Kacou Houadja Léon ADOM, et le Ministre du Tourisme et des Loisirs, M. Siandou FOFANA, ont pris part à cet entretien.

Distribué par APO Group pour Présidence de la République de Côte d’Ivoire.

Promotion des filières agricoles d’exportation : La nouvelle campagne de plantation de palmier à huile lancée


La Secrétaire Générale du Ministère de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche, Madame Madeleine MORA LAFIA, a procédé au lancement officiel, le mardi 24 juin 2025 sur le site de la Coopérative d’Aménagement Rural (CAR) de Obèkè-Ouèrè à Adja-Ouèrè, de la campagne de plantation de palmier à huile, édition 2025. Une campagne qui est à sa 6ème édition et qui porte de grands défis. 

Sur le site de lancement de la campagne, il s’agit du renouvellement des vieilles plantations. À cet effet, il est prévu 12.870 plants sélectionnés à installer sur une superficie de 90 hectares. Au plan national, l’Agence Territoriale de Développement Agricole (ATDA 6), à travers le Programme national de développement de la filière palmier à huile, a mobilisé 1.180.649 plants sélectionnés à installer sur 8.250 hectares. Des plants sélectionnés produits par les pépiniéristes agréés, gage de bons rendements, a souligné le Directeur Général de l’ATDA 6, monsieur Abdoulaye Chabi ISSA CHABI, qui en recommande leurs utilisations à tous les planteurs. 

“La filière palmier à huile a été définitivement relancée avec l’élaboration du Programme National de Développement de la Filière Palmier à Huile, piloté par l’Agence Territoriale de Développement Agricole du Plateau, en collaboration avec les ATDA 4, 5, et 7, les Directions Départementales de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche, des pôles contributeurs et l’Institut National des Recherches Agricoles (INRAB) du Bénin à travers le Centre de Recherches Agricoles Plantes Pérennes (…). Le PAG 2021-2026, permettra de relever à coup sûr de grands défis qui incombent au développement de la filière afin qu’elle retrouve sa première place de culture industrielle d’exportation du pays. Ainsi, plusieurs initiatives visant à promouvoir la filière et à assainir le secteur sont en cours”, a mentionné Madeleine MORA LAFIA, Secrétaire Générale du MAEP. 

Ces trois dernières années, a souligné le représentant de la Coopérative, Monsieur Aminou LADOKE, près de 150 hectares de vielles plantations de palmier à huile sont abattues et sont replantées progressivement sur leur site. Ainsi, durant les campagnes 2022, 2023 et 2024, a-t-il poursuivi, près de 13.900 jeunes plants de palmier sélectionnés sont mis en terre, soit environ 97 hectares. Monsieur LADOKE a également remercié le Président TALON pour avoir sorti définitivement les CAR de leurs crises perpétuelles et aussi remettre la filière palmier à huile sur les rails. 

Pour sa part, Monsieur Arouna LAWANI, président de l’interprofession palmier à huile, a renchéri que le choix du site de lancement est fait à dessein, car préalablement, cette CAR était minée par les querelles et les crises et qu’il est heureux de savoir que la paix y est définitivement retrouvée, grâce au Président de la République.

Distribué par APO Group pour Gouvernement de la République du Bénin.

Ruzizi III Holding Power Company Limited invite Anzana Electric Group Limited à devenir un partenaire stratégique du projet hydroélectrique régional Ruzizi III

Lors du Sommet d’affaires États-Unis – Afrique à Luanda, en Angola, Ruzizi III Holding Power Company Limited (RHPCL) a annoncé la signature d’un accord d’invitation pour un partenariat potentiel significatif avec Anzana Electric Group (Anzana) (www.Anzana.com), visant à faire avancer le projet hydroélectrique régional Ruzizi III de 760 millions de dollars.

Le projet hydroélectrique régional Ruzizi III de 206 MW est le premier partenariat public-privé trinational du genre dans la région des Grands Lacs, formulé sur la base d’un partenariat entre le secteur privé (RHPCL) et les trois États contractants, le Burundi, la République démocratique du Congo (« RDC ») et le Rwanda.

Située sur la rivière Ruzizi, entre l’ouest du Rwanda et l’est de la RDC, la centrale hydroélectrique fournira une électricité fiable au profit du développement d’environ 30 millions de personnes au Burundi, en RDC et au Rwanda, dans une région où 54 % de la population vit sous le seuil de pauvreté et où seulement 24 % des habitants ont accès à l’électricité. Le projet doublera presque la capacité actuelle du Burundi, augmentera celle du Rwanda de 30 % et fournira une énergie de base et une énergie répartissable essentielles à l’est de la RDC, favorisant ainsi la croissance économique, l’intégration régionale et la sécurité énergétique dans l’une des régions les plus mal desservies d’Afrique.

« Les directeurs de RHPCL sont enthousiastes à propos de cette alliance stratégique potentielle et, en supposant un résultat positif du processus de partenariat, ont hâte d’ opérer l’expertise et l’expérience d’Anzana pour réaliser le plein potentiel du projet Ruzizi III, en étendant l’accès à l’énergie critique et en favorisant le développement dans la région », a déclaré Aleem Karmali, directeur de RHPCL.

Anzana, une société américaine d’électricité de premier plan qui développe, investit et exploite des projets de production et de distribution d’électricité en Afrique et dans la région des Grands Lacs, a exprimé son intérêt pour l’acquisition d’une participation minoritaire dans RHPCL.

« En tant que compagnie d’électricité américaine engagée à créer des opportunités en Afrique, Anzana est fière de s’associer à RHPCL et aux gouvernements du Burundi, de la RDC et du Rwanda en ce moment crucial », a déclaré Brian Kelly, PDG d’Anzana, lors du Sommet des affaires États-Unis-Afrique 2025 en Angola. « Ruzizi III fournira une électricité durable, abordable et fiable à des millions de personnes. Grâce à ce partenariat, nous alimentons non seulement les foyers, les communautés et les industries en électricité, mais nous contribuons également à l’intégration régionale, au renforcement de la sécurité et de la stabilité énergétiques, et ouvrons la voie à une expansion des investissements et des échanges commerciaux américains dans l’avenir énergétique de l’Afrique. »

Les deux parties s’engagent à négocier un accord de partenariat contraignant d’ici le 15 septembre 2025, aux termes duquel Anzana pourra acquérir au moins 10 % du capital de RHPCL. Cet accord définira les droits de gouvernance, les engagements d’investissement et la trajectoire de collaboration future.

Distribué par APO Group pour Anzana Electric Group.

Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Aleem Karmali
directeur RHPCL
+254 724 787786

Thom Wallace
communications pour Anzana
thom.wallace@anazana.com

À propos d’Anzana Electric Group :
Anzana Electric Group est un développeur, investisseur et opérateur de premier plan de projets hydroélectriques et de distribution d’électricité en Afrique. Présent en Afrique de l’Est, en Afrique centrale et en Afrique australe, Anzana fournit une électricité fiable et abordable aux communautés, aux entreprises et aux industries. Son approche innovante des partenariats avec les gouvernements, les bailleurs de fonds du développement et le secteur privé de la région vise à libérer le potentiel des infrastructures électriques pour la croissance économique.

Pour plus d’informations, visitez www.Anzana.com

À propos de Ruzizi III Energy Holding Power Company Limited :
Ruzizi III Energy Holding Power Company Limited (RHPCL), une société à vocation spécifique enregistrée au Rwanda, est le partenaire du secteur priv projet Ruzizi III Energy Limited (la société PPP) créée, dans le cadre d’une structure de construction- opérer -transfert (BOOT), pour développer, construire et opérer le projet hydroélectrique régional Ruzizi III de 206 MW, l’une des plus grandes initiatives d’infrastructure de la région des Grands Lacs. Le projet est un partenariat public-privé entre RHPCL, la République du Burundi, la République démocratique du Congo et la République du Rwanda, et est situé sur la rivière Ruzizi, entre le Rwanda et la RDC. RHPCL est, pendant la phase de développement, principalement dirigée par Industrial Promotion Services (IPS Group).

Media files

APO Group et Bytesview Analytics annoncent un partenariat stratégique pour renforcer la veille des médias en Afrique


APO Group (www.APO-opa.com), le chef de file panafricain des relations avec les médias et du conseil en communications, a le plaisir d’annoncer un partenariat stratégique avec Bytesview Analytics Private Limited, une société de technologie spécialisée dans l’intelligence artificielle et l’analyse des données.

Cette collaboration tirera parti de NewsData.io, un produit phare de Bytesview Analytics. NewsData.io est une plateforme d’agrégation et d’analyse qui fournit des données d’actualités en temps réel et historiques provenant de plus de 84 000 sources dans 206 pays et 89 langues. Elle est conçue pour soutenir la veille des médias, l’analyse des sentiments et la prise de décision fondée sur les données.

Grâce à ce partenariat, APO Group et Bytesview Analytics travailleront ensemble pour améliorer le suivi, l’analyse et la distribution des nouvelles africaines. APO Group intégrera les outils basés sur l’IA de Bytesview afin de fournir aux clients des informations plus approfondies sur la manière dont leurs récits sont reçus dans différentes langues et régions, en les aidant à mesurer plus efficacement la visibilité, l’impact et le sentiment du public.

« Il s’agit d’un exemple puissant de la manière dont les données intelligentes et les communications stratégiques peuvent s’unir pour générer de meilleurs résultats médiatiques », déclare Bas Wijne, CEO d’APO Group. « Notre partenariat avec Bytesview Analytics apporte une nouvelle profondeur aux services que nous proposons, en particulier en ce qui concerne le suivi et l’analyse de la couverture médiatique dans toute l’Afrique. »

« Nous sommes ravis de collaborer avec APO Group afin de renforcer notre visibilité en Afrique et de soutenir une narration renforcée grâce à des informations éprouvées et fondées sur des données », souligne Piyush Khatri, directeur de Bytesview Analytics. « Ce partenariat ouvre de nouvelles portes à notre équipe et aux organisations que nous servons. »

Distribué par APO Group pour APO Group.

À propos d’APO Group :
Fondé en 2007, APO Group (www.APO-opa.com) est le leader panafricain du conseil en communication et de la distribution de communiqués de presse. Réputés pour notre expertise africaine profondément enracinée et notre perspective globale, nous sommes spécialisés dans l’optimisation de la réputation et de la valeur de la marque des organisations privées et publiques à travers l’Afrique. En tant que partenaire de confiance, notre mission est d’exploiter le pouvoir des médias, en élaborant des stratégies sur mesure qui ont un impact tangible et mesurable en Afrique et au-delà.

Notre engagement en faveur de l’excellence et de l’innovation dans les stratégies de communication a été récompensé par des prix prestigieux, notamment un PRovoke Media Global SABRE Award et plusieurs PRovoke Media Africa SABRE Awards. Nous avons été nommés Leading Public Relations Firm Africa et Leading Pan-African Communications Consultancy Africa en 2023, et Best Public Relations and Media Consultancy of the Year South Africa en 2024, lors des World Business Outlook Awards. En 2025, Brands Review Magazine nous a reconnus en tant que Leading Communications Consultancy in Africa pour la seconde année consécutive. Le magazine nous a également nommé Best PR Agency et Leading Press Release Distribution Platform in Africa en 2024. En 2025, nous avons reçu la médaille d’or de la meilleure campagne RP et la médaille de bronze des événements hors catégorie aux Davos Communications Awards 2025. 

La clientèle estimée d’APO Group, qui comprend des géants mondiaux tels que Canon, Nestlé, Western Union, le PNUD, Network International, African Energy Chamber, Mercy Ships, Marriott, Africa’s Business Heroes et Liquid Intelligent Technologies, reflète notre capacité inégalée à évoluer dans l’écosystème médiatique africain complexe. Avec des équipes sur le terrain dans de nombreux pays africains, nous offrons des perspectives et une portée inégalées à travers le continent. APO Group se consacre à la refonte de la narration sur l’Afrique, à la remise en question des stéréotypes et à la présentation de récits africains inspirants à un public mondial. Notre expertise dans l’élaboration et l’accompagnement de campagnes de relations publiques dans le monde entier nous permet d’amplifier les messages des marques, de renforcer les réputations et d’établir un lien pertinent avec les publics cibles. 

À propos de Bytesview Analytics :
Bytesview Analytics Private Limited est une société technologique spécialisée dans l’analyse optimisée par l’IA et les solutions de données en temps réel. Fort d’une équipe dédiée de développeurs et de scientifiques des données, Bytesview fournit des produits numériques haute performance dans des secteurs tels que les médias, la fintech, l’edtech, le marketing, les sciences de l’environnement et la veille des réseaux sociaux.

NewsData.io, son produit phare, est une plateforme d’agrégation et d’analyse des actualités qui offre des données en temps réel et historiques grâce à une API intuitive pour les développeurs. La plateforme est conçue pour les chercheurs, les analystes, les développeurs, les professionnels des médias et les organisations à la recherche de données d’actualité structurées provenant de sources mondiales dans plusieurs langues.

Pour de plus amples renseignements, veuillez visiter :
www.Bytesview.com
www.NewsData.io

Un Casque bleu tué en Centrafrique : le Conseil de sécurité exige des comptes


L’incident, attribué à des éléments armés soudanais, s’est produit dans un village du nord-est de ce pays d’Afrique centrale, à une trentaine de kilomètres de la ville de Birao.

Selon l’ONU, les soldats de la paix de MINUSCA, qui effectuaient une patrouille pour protéger des civils, ont été violemment pris pour cible. Dans une déclaration, publiée mardi, les membres du Conseil « ont exprimé leurs plus sincères condoléances et leur profonde sympathie à la famille du Casque bleu tué, ainsi qu’au gouvernement zambien ».

Possible crime de guerre

Le Conseil rappelle que les attaques visant des soldats de la paix peuvent constituer des crimes de guerre au regard du droit international. Il exhorte les autorités centrafricaines à ouvrir une enquête rapide, avec l’appui de la MINUSCA, à poursuivre les responsables, et à tenir informée la Zambie. 

« Les membres du Conseil de sécurité ont souligné que toute implication dans la planification, la direction, le soutien ou l’exécution d’attaques contre les Casques bleus de la MINUSCA peut justifier l’imposition de sanctions conformément aux résolutions du Conseil », rappelle encore le communiqué.

Troisième attaque meurtrière cette année

Il s’agit de la troisième attaque meurtrière contre la mission onusienne depuis le début de l’année. Une tendance jugée alarmante par les membres du Conseil, qui dénoncent une détérioration progressive de la situation sécuritaire dans le nord-est du pays.

Les quinze pays membres du Conseil s’inquiètent en particulier du rôle joué par des réseaux transfrontaliers de trafics illicites, qui continuent de financer et d’approvisionner les groupes armés. Ils souligne la nécessité d’intensifier les enquêtes pour démanteler ces filières.

Les effets de la crise soudanaise

Par ailleurs, le Conseil de sécurité alerte sur les répercussions de la guerre civile au Soudan voisin, en particulier dans les zones frontalières du nord-est de la République centrafricaine. Les incursions répétées sur le territoire centrafricain des Forces de soutien rapide (RSF), opposées à l’armée soudanaise depuis plus d’un an, et leur possible collaboration avec des groupes armés locaux, nourrissent l’instabilité régionale et aggravent une situation humanitaire déjà précaire.

Soutien renouvelé à la MINUSCA

Malgré ces défis, les membres du Conseil réitèrent leur soutien à la MINUSCA et saluent l’engagement des pays contributeurs de troupes et de policiers. Ils insistent sur la nécessité de doter la mission des capacités adéquates pour remplir son mandat et assurer la sécurité de son personnel.

Enfin, le Conseil de sécurité renouvelle son appui à la Représentante spéciale du Secrétaire général pour la République centrafricaine, Valentine Rugwabiza, et affirme sa volonté d’accompagner les autorités et le peuple centrafricains dans leurs efforts pour instaurer une paix durable dans le pays.

Distribué par APO Group pour UN News.

Celebration Russie des dix annees de presence diplomatique de l’ambassade du Togo au Maroc


Sous le co-parrainage de Son Excellence Professeur Robert DUSSEY,  Ministre des Affaires Etrangères, de l’intégration Régionale et des Togolais de l’Extérieur et de Son Excellence Monsieur Nasser BOURITA, Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidant à l’Etranger et de, l’Ambassade de la République Togolaise au Royaume du Maroc a organisé en partenariat avec la Chambre de Commerce, d’Industrie et de Services de la région Rabat-Salé-Kénitra (CCISRSK),  un colloque sur les dix années de sa présence diplomatique au Maroc, au siège du Centre africain de Formation et de Recherche administratives pour le Développement (CAFRAD) à Rabat, les 17 et 18 juin 2025.

L’objectif du colloque était de redéfinir les axes stratégiques et les mécanismes bilatéraux pour le renforcement et la durabilité de la coopération entre le Togo et le Maroc et revitaliser les relations bilatérales entre les deux pays en se dotant de nouveaux outils de coopération.

L’événement a réuni des experts, des décideurs politiques, des acteurs économiques et des chercheurs du Togo et du Maroc qui ont échangé sur les perspectives de coopération, identifier des projets communs et renforcer les liens bilatéraux.

La cérémonie était marquée par des moments protocolaires et symboliques des hymnes nationaux, suivie d’un poème intitulé « ce n’est que le début » qui résume l’essentiel des relations chaleureuses entre le Togo et le Maroc.

La cérémonie inaugurale était également marquée par des discours de haut niveau du Dr. Dieudonné ASSOUVI, Directeur Général du CAFRAD, Monsieur Messan Amakoe KLUTSE, Chargé d’Affaires a.i, Chef de mission de l’Ambassade du Togo à Rabat, Monsieur Hassan SAKHI, Président de la Chambre du Commerce, d’Industrie et de Services de la Région de Rabat-Salé-Kénitra (CCIS-RSK), Dr José Kwassi SYMENOUH, Président de la Chambre De Commerce et d’Industrie du Togo (CCIT) et Madame Latifa ELBOUABDELLAOUI, Directrice Générale du Centre Islamique pour le Développement du Commerce (CIDC).

La rencontre a permis de débattre, au travers des tables ronde,  des avancées de la coopération bilatérale et conduit à la signature d’une convention de partenariat entre la Chambre De Commerce et d’Industrie du Togo (CCIT) et la chambre de Commerce d’Industrie et de Services de la région Rabat-Salé-Kénitra (CCISRSK).

Les tables rondes ont porté sur les problématiques suivantes :

  • Quelles orientations pour les politiques d’intégration Sud-Sud : Cas du Togo et du Maroc ;
  • La coopération Scientifique au service de la Recherche et de l’innovation ;
  • Quelle économie Sociale et solidaire pour un développement endogène durable des populations ;
  • Quels mécanismes adéquats au Togo et au Maroc pour renforcer les systèmes de santé & développer, produire et distribuer des médicaments essentiels ?

Le colloque a pivoté autour des secteurs suivants : Santé, Commerce, Import-Export, Industrie, Énergie / Mines, Transport & Logistique, BTP, Agriculture & Agroalimentaire, Formation, Recherche & Innovation, Coopération décentralisée / Économie sociale et solidaire, Artisanat & Tourisme.

Par ailleurs, le colloque a offert une occasion unique de découverte des produits alimentaires et artisanaux du Togo et du Maroc à travers plusieurs expositions. Les exposants ont échangé avec d’autres professionnels et discuté des opportunités d’affaires et de partenariats.

Des rencontres B2B et B2C ont favorisé le réseautage et les partenariats.

Le dernier événement marquant la fin du colloque concerne le carrefour dédié aux jeunes entrepreneurs. Durant ces rencontres, les jeunes se sont retrouvés et échangé sur différents thèmes d’actualité relatifs à l’entreprenariat des jeunes togolais et marocains.

Etaient au rendez-vous : des entreprises marocaines, des représentations diplomatiques, le Port Autonome de Lomé, la Chambre de Commerce du Togo, Ministère de l”agriculture, de l’Hydraulique Villageoise et du Développement Rural, le Ministère de l’Industrie et de la Promotion des Investissements, des opérateurs économiques togolais, IEIALEL-Légumes Précuits, FORMATEC, Crea Events, etc…

En marge du colloque, une formation a été donnée à une association marocaine par Mme HOUATEME Da doh, participante du Colloque, fondatrice et responsable de GC BATIK, une entreprise qui réside au Togo spécialisée dans le « batik ».

D’autres rencontres particulières et visites d’entreprises ont été faites par les délégations togolaises.

Distribué par APO Group pour Ambassade de la République Togolaise Au Royaume du Maroc.

Ituri : un procès fictif inédit pour sensibiliser aux dangers de la désinformation


Dieumerci Kati, 34 ans, est accusé d’avoir diffusé sur WhatsApp une rumeur d’empoisonnement. Sans vérification, le message s’est rapidement répandu dans plusieurs groupes causant des dommages irréversibles. La personne faussement mise en cause a vu sa réputation ruinée et s’est retrouvée isolée.

C’est le scénario d’un procès fictif organisé le 20 juin à Bunia par la section de la Communication stratégique et de l’information publique de la MONUSCO, dans le but de sensibiliser aux effets de la désinformation.

Les larmes de la victime et les justifications confuses de l’auteur du message ont profondément ému la centaine de personnes présentes. « Depuis que ces messages circulent, je ne dors plus. On me montre du doigt, certains m’évitent, d’autres me traitent de meurtrier. J’ai perdu ma femme. Ma vie a basculé à cause de ce mensonge », témoigne la victime invitée à s’exprimer. L’accusé a reconnu les faits, déclarant qu’il s’agissait, au départ, « d’une simple blague ».

Pour Jean-Tobie Okala, responsable de l’Information publique de la MONUSCO en Ituri, le choix d’un scénario proche du quotidien visait à montrer qu’une rumeur, même lancée sans intention de nuire, peut avoir des répercussions graves tant pour les individus que pour la société.

À l’issue des débats, le tribunal fictif a prononcé une peine de deux mois de prison, assortie d’une amende d’un million de francs congolais et d’un dédommagement symbolique pour la victime.

Entré en vigueur en mars 2023, le code du numérique en République démocratique du Congo encadre strictement la diffusion de fausses informations. L’article 360 dispose : « Quiconque initie ou relaie une fausse information contre une personne par le biais des réseaux sociaux, des systèmes informatiques, des réseaux de communication électronique ou tout autre support électronique, est puni d’une servitude pénale d’un à six mois et d’une amende de cinq cent mille à un million de francs congolais, ou de l’une de ces peines seulement ».

Informer pour mieux prévenir

Le procès s’inscrivait dans le cadre d’un atelier consacré aux mécanismes, enjeux et impacts de la désinformation. Une centaine de jeunes, dont une trentaine de filles, ont participé à cette session axée sur ses répercussions sécuritaires.

En Ituri, certaines rumeurs visant l’armée, la police ou la MONUSCO ont déjà mis en péril des opérations contre des groupes armés. Ces derniers, eux aussi actifs en ligne, exploitent les réseaux sociaux pour manipuler l’opinion et déstabiliser les institutions. Le code du numérique a été présenté aux participants pour rappeler que la circulation non maîtrisée de contenus engage désormais la responsabilité pénale.

La salle d’audience de la Cour d’appel de Bunia, choisie pour accueillir la formation, portait une forte charge symbolique. « Nous avons voulu montrer aux jeunes que la désinformation peut les conduire à des poursuites judiciaires s’ils n’y prennent garde », explique Jean-Tobie Okala.

Comprendre les risques

La désinformation agit comme un catalyseur de tensions, exacerbe les clivages et entretient les conflits. Le manque de recul face aux contenus partagés facilite sa diffusion. « La critique est légitime, mais elle doit reposer sur des faits. Avant de relayer une information, qu’elle concerne une autorité, une force de sécurité ou un voisin, chacun devrait se poser trois questions : est-ce vrai ? Est-ce utile ? Est-ce responsable ? », recommande M. Okala.

À la fin du procès fictif, plusieurs participants ont exprimé leur ressenti, entre émotion et prise de conscience. Fidèle Kazadi, étudiant en droit à l’Université de Bunia, confie : « La désinformation est un poison pour notre société. Dans un contexte aussi fragile que celui de l’Ituri, elle devient une arme redoutable. Aujourd’hui, j’ai compris qu’il ne faut pas se contenter de transmettre un message. Il faut le questionner, vérifier sa source et en mesurer les effets. Je m’engage à ne plus diffuser ce que je ne peux pas confirmer, et à encourager les autres à faire de même ». Pour sa part, Virginie Kakori, responsable de la jeunesse à Mbunya, déclare : « Cette initiative m’a ouvert les yeux. Trop souvent, nous partageons des contenus sans réfléchir. Mais, derrière chaque rumeur, il peut y avoir une victime. La désinformation détruit, divise et menace la paix ».

Ces témoignages convergent vers une même certitude : la lutte contre la désinformation ne dépend pas uniquement des institutions. Elle repose avant tout sur un réflexe citoyen : s’assurer de la fiabilité d’un contenu avant toute diffusion.

Distribué par APO Group pour Mission de l’Organisation des Nations unies en République démocratique du Congo (MONUSCO).

Fête de la Musique 2025 : Le Bénin a vibré à l’unisson sur quatre grandes scènes nationales


Du 20 au 22 juin 2025, le Bénin a célébré la Fête de la Musique dans une ferveur populaire inédite. Quatre grandes scènes installées à Cotonou, Porto-Novo, Bohicon et Parakou ont servi de creuset d’expression aux artistes de tous horizons, dans une ambiance de parfaite communion entre les créateurs et le public. Initiée par le Gouvernement béninois à travers le Ministère du tourisme, de la culture et des arts, et pilotée par l’Agence de Développement des Arts et de la Culture (ADAC), l’édition 2025 de la Fête de la Musique s’est distinguée par sa portée nationale et son organisation multisite. Une option stratégique saluée par les acteurs du secteur et les populations, qui ont massivement répondu à l’appel de la scène. 

Des milliers de spectateurs se sont rassemblés du 20 au 22 juin, autour des scènes installées dans les quatre villes hôtes. À Cotonou, la salle Rouge du Palais des Congrès s’est transformée en agora musicale, où se sont enchaînées les prestations des artistes talentueux de la musique béninoise et de jeunes pousses en pleine ascension. À Porto-Novo, la capitale politique, l’ambiance était tout aussi électrique avec un plateau traditionnel porté par des artistes de renom. Il ne pouvait en être autrement quand le “Akonhoun” de Pipi Wobaho résonne sur la terre hospitalière des Aïnonvis. 

À Bohicon, carrefour culturel du centre, le public a vibré au rythme de sonorités traditionnelles revisitées, tandis qu’à Parakou, la scène a offert un bel échantillon de la diversité musicale de tout le pays grâce au mélange d’artistes de plusieurs régions. Sur chacun de ces sites, le spectacle s’est joué à guichets fermés, confirmant l’appétence du public pour ces rendez-vous de célébration artistique. 

En décentralisant la Fête de la Musique sur quatre pôles régionaux, le Gouvernement a su répondre à une attente réelle des populations. Ce déploiement territorial de l’action culturelle a permis d’atteindre un public plus large et de révéler, au passage, des talents enracinés dans les réalités locales. Le succès de cette formule vient confirmer la justesse du choix opéré par le Ministère en charge de la culture. L’enthousiasme populaire et la forte mobilisation des artistes témoignent de l’adhésion unanime à cette initiative, qui s’inscrit dans la politique nationale de démocratisation de l’accès à la culture. 

Outre les prestations musicales, chaque scène a été le théâtre d’une véritable fête de la diversité culturelle. Danses patrimoniales, performances scéniques, hommages musicaux et collaborations intergénérationnelles ont marqué les différentes soirées. Le public a manifesté une ferveur rare, dans une ambiance conviviale et sécurisée.

Distribué par APO Group pour Gouvernement de la République du Bénin.

L’éducation des filles aujourd’hui pour l’autonomisation des femmes demain » : souligne la Sénatrice Dr. Rasha Kelej à l’occasion de la Journée Internationale de la Femme 2025

La Fondation Merck (www.Merck-Foundation.com), la branche philanthropique de Merck KGaA Allemagne, en collaboration avec les Premières Dames d’Afrique qui sont également leurs Ambassadrices, les Ministères de la Santé, de l’Éducation, de la Communication et du Genre, marquent la « Journée Internationale de la Femme 2025 », grâce à leurs programmes de développement à impact, poursuivant leur héritage de 13 ans d’autonomisation des femmes et des filles. 

Sénatrice Dr. Rasha Kelej, CEO de la Fondation Merck et l’Une des Femmes Africaines les Plus Influentes pendant six années consécutives (2019-2024), a déclaré : « Joyeuse Journée Internationale de la Femme à toutes les femmes et filles remarquables du monde entier !  

L’autonomisation des filles et des femmes est au cœur de toutes nos initiatives et de tous nos programmes à la Fondation Merck. Je reconnais l’immense potentiel des femmes à s’épanouir, à réussir et à exceller dans tous les domaines qu’elles choisissent, mais elles manquent souvent d’un environnement propice pour réaliser pleinement leurs capacités, en particulier dans les communautés mal desservies.  

C’est pourquoi, avec nos Ambassadrices, les Premières Dames d’Afrique, nous marquons chaque jour depuis 13 ans la Journée Internationale de la Femme par le biais de nos programmes et initiatives de développement tels que « Plus Qu’une Mère », « Renforcement des Capacités de la Fondation Merck », « Éduquer Linda » et « Program STIM ». 

Le Programme « Plus Qu’une Mère » de la Fondation Merck est un mouvement fort qui vise à autonomiser les femmes infertiles et sans enfant grâce à l’accès à l’information, à l’éducation et à un changement de mentalité.  

« Je suis ravie d’annoncer que sur les 2282 bourses attribuées dans 52 pays dans 44 spécialités cruciales et mal desservies, 1063 bourses, soit près de 50 %, ont été accordées à des femmes diplômées en médecine, leur permettant ainsi de devenir de futures expertes et dirigeantes dans le domaine des soins de santé. 

Je suis particulièrement fière que nous ayons accordé plus de 716 bourses à de jeunes médecins, qui se consacrent à l’amélioration de la santé des femmes en renforçant les capacités de soins en matière de reproduction, de santé sexuelle et de fertilité.   

La CEO de la Fondation Merck est convaincue que l’éducation est l’un des domaines les plus importants de l’autonomisation des femmes.  

Je suis heureux de partager que grâce à notre Programme «Éduquer Linda», en collaboration avec mes chères sœurs, nos Ambassadrices, nous soutenons l’éducation en offrant plus de 950 bourses à des écolières Africaines performantes et défavorisées, en leur permettant de terminer leurs études et d’atteindre leur plein potentiel et en fournissant également des articles scolaires essentiels à des milliers d’écolières dans de nombreux pays africains tels que le Botswana, le Burundi, le Malawi, la Gambie, le Nigéria, la Zambie, le Zimbabwe, le Ghana, la Namibie, la République Démocratique du Congo, le Cap-Vert et plus encore. 

En outre, notre campagne de sensibilisation a bénéficié à des milliers de filles grâce à de nombreuses initiatives telles que la publication de chansons inspirantes, de livres d’histoires pour enfants, de films d’animation, de programmes télévisés et de prix pour les meilleurs médias, chansons, films et dessins de mode, tous destinés à promouvoir l’éducation des filles aujourd’hui pour l’autonomisation des femmes demain », a souligné la Sénatrice Rasha Kelej. 

La Fondation Merck soutient également activement les femmes dans le domaine des sciences et de la technologie par le biais de son programme STIM et des prix annuels du Sommet de Recherche en Afrique de la Fondation Merck (MARS) qui reconnaissent et célèbrent les meilleures chercheuses africaines et les meilleurs jeunes chercheurs africains, encourageant ainsi l’excellence en matière de recherche.  

« Notre objectif est d’autonomiser les femmes et les jeunes chercheurs africains, de renforcer leurs capacités de recherche et de promouvoir leurs contributions aux STIM », a souligné le Dr. Kelej.  

Regardez les épisodes du programme télévisé « Notre Afrique par la Fondation Merck » sur le soutien à l’éducation des filles :  

Épisode 2:  https://apo-opa.co/3TJnIlf 

Épisode 11: https://apo-opa.co/3T5CQcE

Épisode 14: https://apo-opa.co/4kUtgFA 

Écoutez la chanson de la Fondation Merck sur le soutien à l’éducation des filles ici :  

1. Regardez, partagez et abonnez-vous à la chanson « Girl Can », interprétée par deux chanteurs célèbres, Irene et Cwezi, respectivement du Liberia et du Ghana : https://apo-opa.co/407Ntj9

2. Regardez, partagez et abonnez-vous à la chanson « Like Them », interprétée par Kenneth, un célèbre chanteur ougandais : https://apo-opa.co/4kV21e5 

3. Regardez, partagez et abonnez-vous à la chanson « Take me to School », interprétée par Wezi, chanteur afro-soul de Zambie, pour soutenir l’éducation des filles : https://apo-opa.co/3ZGPClx

4. Regardez, partagez et abonnez la chanson portugaise « Tu Podes Sim », qui signifie « Oui, Tu Peux » en français, interprétée par Blaze et Tamyris Moiane, chanteurs mozambicains, en anglais ici : https://apo-opa.co/4lhKJaL   

5. Regardez, partagez et abonnez-vous à la chanson « Brighter day » de Sean K et Cwesi Oteng, respectivement de Namibie et du Ghana : https://apo-opa.co/3HWDu9W

Regardez les films d’animation de la Fondation Merck pour soutenir l’éducation des filles : 

Une Balade vers le Futur : https://apo-opa.co/4lhKTin

Le Secours de Jackeline :  https://apo-opa.co/3ZKEFzv

Lisez le livre d’histoires de la Fondation Merck qui aborde l’importance de l’éducation des filles :  

1. Pour lire le livre d’histoire « Éduquer Linda », veuillez consulter : https://apo-opa.co/44lkNEv

2. Pour lire le livre d’histoires « Le Secours de Jackeline », rendez-vous sur : https://apo-opa.co/4nhP6Ve

3. Pour lire le livre d’histoires « Une Balade vers le Futur », veuillez consulter le site : https://apo-opa.co/4k3zAJO

4. Pour lire le livre d’histoires « Pas Qui Vous êtes », veuillez consulter le site : https://apo-opa.co/4k3zFNC

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Contact :
Mehak Handa
Responsable du programme de sensibilisation communautaire
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La Fondation Merck, créée en 2017, est la branche philanthropique de Merck KGaA Allemagne, vise à améliorer la santé et le bien-être des populations et à faire progresser leur vie grâce à la science et à la technologie. Nos efforts sont principalement axés sur l’amélioration de l’accès à des solutions de soins de santé de qualité et équitables dans les communautés mal desservies, à renforcer les capacités de recherche sur les soins de santé et la recherche scientifique, l’autonomisation des filles à travers l’éducation et l’autonomisation des personnes en STEM (Science, Technologie, Ingénierie et Mathématiques) avec un accent particulier sur les femmes et les jeunes. Tous les communiqués de presse de la Fondation Merck sont distribués par e-mail en même temps qu’ils deviennent disponibles sur le site Web de la Fondation Merck. Veuillez visiter www.Merck-Foundation.com pour en savoir plus. Pour en savoir plus, contactez nos réseaux sociaux de la Fondation Merck : Facebook (https://apo-opa.co/40mEwlR), X (https://apo-opa.co/4ngMjLO), Instagram (https://apo-opa.co/3HVBxui), YouTube (https://apo-opa.co/4lkw0Mb) et Flickr (https://apo-opa.co/3FU9QSe). 

La Fondation Merck se consacre à l’amélioration des résultats sociaux et sanitaires pour les communautés dans le besoin. Bien qu’elle collabore avec divers partenaires, y compris des gouvernements, pour atteindre ses objectifs humanitaires, la fondation reste strictement neutre sur le plan politique. Elle ne s’engage pas et ne soutient pas d’activités, d’élections ou de régimes politiques, se focalise uniquement sur sa mission d’élever l’humanité et d’améliorer le bien-être tout en maintenant une position strictement apolitique dans toutes ses activités. 

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Célébration du 1er août : Les axes à emprunter pour la circulation à partir du mercredi 25 juin 2025


Dans le cadre des préparatifs de la célébration du 65ème anniversaire de l’indépendance du Bénin, il sera procédé à l’installation des tribunes sur le Boulevard de la Marina à hauteur de « l’esplanade de l’Amazone » à partir du mercredi 25 juin 2025. Cette mise en place entraînera une perturbation de la circulation sur ledit Boulevard.

Par ailleurs, cette modification du plan de circulation ne perturbera pas le trafic routier sur les autres axes dans la ville de Cotonou.

La déviation est organisée à hauteur de l’esplanade de l’amazone.

En vue de faciliter la circulation aux usagers de la route sur cette portion de trafic routier, il est établi le plan de circulation suivant :

• mise en place d’un décalage de la circulation sur la chaussée gauche pour les usagers venant du port autonome de Cotonou et sur la chaussée droite pour ceux venant de Novotel.

• cette portion servira de voie à double sens pendant les travaux.

Recommandations

Il est recommandé aux usagers de se conformer à cette modification de la circulation.

Les gros-porteurs ne sont pas autorisés à emprunter cette déviation. Ces derniers sont donc priés de passer par d’autres voies.

Roukiyath MAMAH-DJIMAN

Distribué par APO Group pour Gouvernement de la République du Bénin.